Encore une journée marathon sur Kyoto et sa région. Au programme, deux temples et une sortie en dehors de la ville pour admirer le château d’Osaka !
En route pour le Nord-Est de Kyoto en ce début de matinée pour aller admirer ce bon vieux Ginkaku-ji. Je préfère nettement plus le pavillon d’argent que le pavillon d’or et pour cause, je trouve que le panorama est plus diversifié puisque le parc attenant est sur plusieurs étages.
Alors que je me ballade dans les sous-bois, un rayon de soleil fait son apparation et tape sur les mousses tapissant le sol; vision féérique !
À quelques mètres à peine du ginkaku-ji, une allée bordée de sakura. Je reste une bonne minute à les contempler. Décidemment, ils m’émerveillent toujours autant.
Après quelques minutes à bord d’un bus, me voilà au Nanzen-ji. Si les photos du bâtiment principal et des arches sont relativement communes, je décide de visiter les jardins zen et tombe nez à nez sur des salles remplies de merveilles. Ô oui les jardins sont beaux mais je reste scotché devant les peintures ornant l’intérieur des salles. Clichés interdits, je ne pouvais pas repartir sans une photo volée pour vous faire partager ces décorations.
Déjà quatorze heures passées, grand temps de retourner à la gare de Kyoto afin de prendre une ligne express pour me rendre à Osaka.
Il est beau, majestueux, on croirait presque qu’il flotte dans le ciel de loin. Le château d’Osaka a de la gueule, on peut le dire.
Du haut du château, on peut voir de grandes bâches bleues disposées sous les sakura. C’est o-hanami : partager son repas autour d’un verre entre amis ou en famille, le bonheur se trouve surtout dans les choses simples et nous avons tendance à trop souvent l’oublier.
Après avoir parcouru les étages aménagés en musée, impossible de repartir sans manger quelques takoyaki servis dans les petites échoppes proches du château. Surtout, la nuit tombant, l’occasion est trop belle pour apprécier les lumières du Osaka-jo.
Il sera malheureusement temps de quitter Kyoto demain (à grand regret je ne vous le cache pas). Miyajima, me voilà !