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Intérêts : culture, saké et histoire des samouraïs
Aizuwakamatsu est une ville située dans la préfecture de Fukushima.
La bourgade est bien connue pour sa culture liée aux samouraïs, car c’est là que les derniers samouraïs ont combattu lors de la révolution japonaise en 1868.
Bien qu’il s’agisse d’une petite ville dont peu d’occidentaux semblent avoir entendu parler, Aizuwakamatsu a beaucoup à offrir, surtout si vous êtes intéressé par l’artisanat, la gastronomie, l’histoire et la culture.
À ne pas manquer :
• Château de Tsuruga
• Cours de tir à l’arc à l’école de Nisshinkan Samurai
• Dégustation de saké à la brasserie Suehiro
• Artisanat : sake et textile
Intérêts : gastronomie, ruines du château et temples
Fukuoka est la sixième plus grande ville du Japon située dans le sud de la province de Fukuoka.
La ville est proche de la Chine et de la Corée et a été influencée par les deux cultures.
C’est l’endroit idéal qui peut servir de camp de base pour rayonner alentours (Beppu et Nagasaki par exemple).
À ne pas manquer :
• Quartier de Nakasu
• Ruines du château de Fukuoka
• Ville du Canal Hakata
• Parc Ohori
• Tour de Fukuoka
• Yatai (vendeur de nourriture ambulant)
Intérêts : histoire
Himeji est un très bon plan pour remplir une demi-journée dans votre planning.
Située à seulement une heure de Kyoto en shinkansen (train à grande vitesse), vous pourrez visiter les incontournables sans trop vous presser.
À 60 kilomètres de Kobe, vous pourrez découvrir château le plus célèbre château du Japon.
Le majestueux et paisible château de Himeji est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
On appelle cet édifice le château du héron blanc.
Construit au milieu du XIVème siècle, le château de Himeji est à cet époque le château le plus grand de toute l’Asie.
Bâti comme un vaisseau de guerre, il ne fut jamais détruit ou incendié contrairement a beaucoup d’autres au Japon.
Il a miraculeusement échappé aux bombardements en 1945. Invincible, il est parvenu a traverser le temps.
À ne pas manquer :
• Château de Himeji
• Jardins Koko-en
• Temple Engyoji sur le mont Shosha
Intérêts : histoire
Cette ville peut très bien servir de point d’étape si vous comptez visiter le Nord du Tohoku ou vous rendre plus au Nord sur l’île de Hokkaido.
Une journée est suffisante pour visiter sans trop se presser.
À ne pas manquer :
• Château de Hirosaki
• Jardins Fujita
• Quartier nord du château (samouraï)
Intérêts : culture, jardin
Kanazawa est une ville à taille humaine qui permet de vivre 1001 expériences.
Tous les lieux sont plus ou moins accessibles à pied.
Les quartiers disposent chacun d’un charme particulier.
Si le centre-ville est un condensé de centres commerciaux et d’hôtels, vous retrouvez à quelques minutes à peine des rues très anciennes qui vous transporteront plusieurs siècles en arrière.
À ne pas manquer :
• Château de Kanazawa (musée et jardins)
• Jardins Kenroku-en
• Musée d’art contemporain du 21ème siècle
• Quartier de Nagamachi (samourai)
• Quartier de Higashiyama (geisha)
Intérêts : histoire, temples et nourriture
Alors que la plupart des visiteurs au Japon parcourent l’île principale de Honshu, il y a des endroits incroyables à voir sur les autres îles du pays.
Sur Shikoku, la grande île à l’est de Honshu, l’un des meilleurs endroits à visiter est probablement Matsuyama.
C’est la plus grande ville de Shikoku (500 000 habitants) mais le climat est propice à la détente.
À ne pas manquer :
• Château de Matsuyama
• Onsen Dogo
• Temple Ishite-ji
Intérêts : histoire et jardin
Aviez-vous déjà entendu parler de Okayama ?
Et pourtant, la ville abrite l’un des trois plus beaux jardins du pays.
La bonne nouvelle c’est que vous pourrez vous y arrêter l’espace d’une demi-journée sans souci si vous vous rendez plus au Sud (à Hiroshima par exemple).
En effet, Okayama est souvent une station comme une autre sur la ligne shinkansen pour se rendre à Hiroshima depuis Kyoto ou Tokyo, mais ce que les gens ne savent pas, c’est que Okayama est une destination touristique étonnante en soi, et la porte d’entrée parfaite pour explorer la région.
À ne pas manquer :
• Jardin Korakuen
• Château de Okayama
Intérêts : histoire, architecture et sushi
La ville d’Otaru est à environ 40 minutes de Sapporo. Il s’agissait autrefois du centre économique et financier de l’île de Hokkaido.
La pêche apportait une grande richesse à Otaru.
Par ailleurs, à la fin du XIXème siècle, la ville débuta des activités de commerce avec l’Amérique du Nord et la Grande-Bretagne.
L’architecture d’Otaru a été fortement influencée par ses partenaires commerciaux.
De nombreux bâtiments historiques d’inspiration occidentale bordent les rues de la ville, en particulier le long de la rue Sakaimachidori.
Beaucoup d’entre eux ont été transformés en magasins et en restaurants.
À ne pas manquer :
• Villa de Aoyama
• Canal d’Otaru la nuit
• Sushi de la rue Sushiyadori
Intérêts : histoire, alimentation et Formule 1
Suzuka est une petite ville située en plein cœur du Japon.
Si vous aimez la Formule 1, vous en avez probablement déjà entendu parler puisque c’est là que se déroule le grand prix.
À l’exception de la semaine consacrée à la F1, la ville est totalement en dehors des radars de tous les touristes étrangers.
Cependant, la région compte de bonnes raisons de s’y attarder.
À ne pas manquer :
• Château d’Iga-Ueno
• Parc d’attractions du circuit de Suzuka (Motopia) dédié aux jeunes enfants
• Parc floral qui devient tout rose pendant la saison de la floraison des cerisiers
• Sanctuaire de Ise situé dans une forêt ancienne avec des arbres gigantesques. Le sanctuaire
est reconstruit tous les 20 ans depuis l’an 690, selon la tradition shintoïste.
Intérêts : jardin
Le centre-ville de Takamatsu peut sembler quelque peu anecdotique à ceci près que s’y trouve un petit bijou : le Ritsurin, un jardin qui date de 1625, est selon certains spécialiste le plus beau jardin traditionnel de tout le Japon.
Vous pouvez facilement passer une demi-journée à vous promener dans son parc.
À ne pas manquer :
• Jardin Ritsurin
• Musée en plein air Shikoku Mura
• Musée Noguchi
• Temple Kotohira-gu (en dehors de la ville)
Intérêts : histoire, cuisine et nature
Face au détroit de Tsugaru, la ville de Hakodate est une des premières villes à s’être ouverte au commerce international comme Yokohama ou Kobe.
Hakodate est la ville la plus merodionale d’Hokkaido et la plus ancienne.
Même avant la colonisation officielle de l’île par les japonais, les lieux étaient occupés par des clans venus d’Honshu à partir du XIVème siècle avant que la ville ne soit fondée au suivant puis directement administré par les shogun à l’ère Edo.
À la fin de l’ère Edo, l’administration du shogunat fut contrainte par les Etats-Unis de rouvrir le pays aux relations commerciales.
Hakodate fut le premier port du Japon à échanger avec les américains à partir de 1854.
L’année suivante le fort Goryokaku fut construit sur un plan à la Vauban pour y installer les autorités municipales et défendre la ville.
Le fort fut transformé au début du XXème siècle en parc public : les habitants et visiteurs viennent y admirer la floraison de ses 1600 cerisiers, un spectacle d’une rare beauté célèbre dans tout le pays.
À ne pas manquer :
• Mont Hakodate
• Fort Gorokaku
Intérêts : culture, cuisine unique et plages
Bien qu’on y accède en seulement une heure d’Osaka en train, la ville de Wakayama est bien souvent totalement oubliée des touristes occidentaux qui préfèrent privilégier Kyoto, Nara et Uji.
Wakayama est une petite ville côtière avec de belles plages, des fruits de mer incroyables, des sources thermales naturelles et beaucoup d’espaces verts…
Il y a beaucoup de raisons d’ajouter cette destination hors des sentiers battus à votre itinéraire.
À ne pas manquer :
• Château de Wakayama
• Sushi frais et plats de fruits de mer au marché aux poissons de Kuroshio
• Nombreux sanctuaires et temples
• Plages
Intérêts : artisanat
La ville de Morioka est depuis plusieurs siècles la capitale de la fonte.
Les bouilloires et les marmites ont fait la réputation de la cité.
Au loin, le magnifique mont Iwate (volcan) domine la ville.
À ne pas manquer :
• Ruine du château de Morioka
• Nouilles de Morioka (reimen)
Intérêts : céramiques, histoire
Nagoya est la quatrième ville du pays.
Elle compte plus de 2 millions d’habitants.
Lourdement bombardé lors de la seconde guerre mondiale, la ville a été en partie reconstruite.
Au centre de la ville, vous trouverez le château de Nagoya qui a été construit au XVIIème siècle.
L’édifice et a été incendié par un bombardement au cours de la seconde guerre mondiale .
Bien souvent dans l’architecture japonaise, les châteaux anciens étaient construits en bois donc très vulnérables aux incendies et au tir d’artillerie.
Il a donc été entièrement reconstruit au début des années 1960.
Vous pourrez apercevoir à son sommet les célébrés kinshachi (deux dauphins dorés a tête de tigrse qui veillent sur la ville).
Au Sud du château les tours blanches de la société de transport JR central hébergent la gare de Nagoya.
Dans la région, l’industrie la plus importante est celle de l’automobile, elle compte plusieurs usines de production et le sièges de grandes usines japonaises.
Le port de Nagoya est un des plus grands du pays. Il est situé dans le baie d’Ise.
À ne pas manquer :
• Château de Nagoya
• Sanctuaire Atsuta
• Jardin Noritake (dans une ancienne usine)
• Legoland (parc d’attractions)
Intérêts : histoire
D’un raffinement extrême, capitale des arts et de la spiritualité, Kyoto fut au centre de la politique du Japon durant un millénaire.
Tout au long de son histoire, la ville s’est couverte de temples, de palais et de jardins.
Au centre de la ville, Kyoto a conservé son ancienne demeure impériale.
L’empereur du Japon et sa cour y ont séjourné jusqu’en 1868 au début de l’ère Meiji.
Aujourd’hui, l’immense jardin du palais et ses 50 000 arbres profitent à tout les habitants.
En 1945, Kyoto fut une cible privilégiée pour la première bombe atomique de l’histoire.
Conseillers et intellectuels américains s’opposèrent à son bombardement.
C’est ainsi que d’inestimables temples et sanctuaires furent sauvés.
Le temple bouddhiste Kinkaku-ji (pavillon d’or) a été la residence privé d’un grand général au XIVème siècle.
Le célèbre pavillon d’or est devenu plus tard le lieu favori de fêtes et de promenades de la noblesse de la région.
Paroxisme de la beauté; classé au patrimoine mondial de l’Unesco, le grand romancier Yukio Mishima en a fait un des lieux les plus renommés du japon dans un de ces chefs d’oeuvre littéraire.
À l’est, vous découvrirez l’ensemble de temples majestueux Kyomizu qui a été construit au VIIIème siècle.
Enclavé dans la montagne, il fut détruit et reconstruit plus de dix fois.
Son pavillon principal, le hondo, est construit au bord d’un précipice.
Installé sur d’immenses pilotis de 12 mètres, la vue panoramique sur les jardins et sur Kyoto est imprenable.
La riviere Ozu est un autre moyen d’arriver à Kyoto.
La descente de la rivière entre monts et vallée permet de profiter de la nature foisonnante de la région dans un cadre enchanteur.
Au Nord-Est de la ville, un lieu retiré servait de cimetière et de fosse commune. Il y a 1200 ans un moine bouddhiste fut érigé ici un temple à la mémoire des morts, le temple Adashino Nenbutsuji : les stèles furent toutes rassemblées au début du XXème siècle pour créer ce lieu de recueillement unique et étrange.
On compte plus de 8 000 stèles alignées autour d’une statue de bouddha.
Vous découvrirez à Kyoto de nombreux jardins typiquement japonais.
L’aménagement de ces jardins au pays du soleil levant est un art antique et respecté.
L’art du jardin japonais se doit d’idéaliser la nature dans un souci quotidien de perfection.
À quelques centaines de mètres du temples Nanzen-ji, emmitouflé dans un écrin végétal, les employés du jardin Murin-an apporte un dernier soin a un des chefs d’oeuvre crée en 1896 à l’époque Meiji.
À ne pas manquer :
• Temple Ginkaku-ji (pavillon d’or)
• Temple Kinkaku-ji (pavillon d’argent)
• Kyomizu-dera
• Temple Nanzen-ji
• Palais impérial
• Sanctuaire Fushimi-inari
Intérêts : histoire
Petite ville de 360 000 habitants, Nara a été au VIIIème siècle la première capitale fixe du pays et le lieu de résidence de l’empereur.
Cité des arts et de l’architecture et domaine des daims sacrés elle est un des lieux de naissance de la civilisation japonaise.
À l’Est de la ville au pied du mont Wakakusa, on observe l’un des temples bouddhiste les plus impressionnant du pays, le Todai-ji.
Il est toujours en activité et la communauté de moine y enseigne certaines branches du bouddhisme japonais.
Au Sud on trouve le grand temple Horyu-ji.
Sa partie la plus ancienne remonte au VIIème siècle.
Il est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
Haute de plus de 30 mètres, la pagode à cinq étages du Horyu-ji est la plus ancienne du Japon.
La structure est assemblé sans aucun clou, autour d’un grand pilier central.
Les étages s’ajuste les uns aux autres, tous les éléments s’emboîtent parfaitement.
La pagode Horyuji est considérée comme la plus vieille construction en bois du monde.
À ne pas manquer :
• Temple Todai-ji
• Temple Horyu-ji
• Temple Yakushi-ji
• Temple Kofuku-ji
• Sanctuaire Kasuga-taisha
• Parc de Nara
Intérêts : histoire,
Tokyo est la troisième plus forte concentration de grattes ciels au monde.
Cette mégalopole est un rouage complexe d’immeubles d’affaires, de ruelles, de 280 stations de métro et de nombreux parcs.
Tokyo regorge de lieux fascinants.
Symbole de la reconstruction du pays après la seconde guerre mondiale, la tour de Tokyo dans le quartier de Minati a été construite en 1958.
Tour de communication pour la radio et la télévision, directement inspirée de la tour Eiffel elle est l’étendard bicolore de la capitale japonaise.
Le Tokyo Dome est un lieu mytique pour les japonais, grands amateurs de baseball. Le baseball apporté par les américains a la fin du XIXème siècle est le sport roi au Japon.
Dans le quartier de Shinjuku les tours jumelles hébergent le siège du gouvernement métropolitain de Tokyo.
Tous les 4 ans, un nouveau gouverneur est élu par les habitants.
La tour Tokyo Sky Tree est l’un des symbole récents du rayonnement international de la ville.
Deux fois plus haute que son aînée la tour de Tokyo, elle domine la ville de ses 634 mètres.
Lors de sa construction les ingénieurs se sont inspirés des pagodes à 5 étages présents dans de nombreux tempes bouddhistes. Elle est soutenue par un pilier central qui résiste au tremblement de terre.
Le quartier de Shimoda accueille les hauts lieux dédiés à la vie politique comme le bâtiment de la diète nationale ou se réunissent les deux chambres japonaises : la chambre des représentants et celle des conseillers. Elles votent les lois et les budgets et sont le lieu de débat des grandes orientations politiques du pays.
De grands espaces verts se nichent au milieu des tours comme au cœur de Tokyo où on aperçoit les vastes jardins du palais impérial.
C’est autour du palais de l’empereur que la mégalopole s’est développée au cours des siècles. Il s’agit toujours aujourd’hui du lieu de résidence du symbole vivant de la nation et de l’unité du peuple japonais.
Shibuya, avec son célèbre carrefour l’un des plus emprunté au monde est un quartier vibrant de Tokyo en perpétuel agitation.
Mais au cœur de ce labyrinthe ultra-moderne, mécanique parfaitement huilée d’infrastructures foisonnantes et souvent infaillible, demeurent de nombreux îlots de traditions.
A l’extrême Est s’étend le quartier de Edogawa. Comme une grande partie de l’agglomération tokyoïte, il est composé de petits immeubles et de maisons ce qui fait de Tokyo une ville où il fait bon vivre.
Les habitants peuvent y perpétuer de nombreuses traditions comme fréquenter les bains publics (sentos) autrefois très nombreux et lieux incontournables de la sociabilité japonaise. Aujourd’hui bien sûr, la plupart des japonais disposent d’une salle de bain et n’ont plus autant besoin de se rendre dans les sentos pour se laver. Avec eux, survit une tradition de peinture murale que seuls certains experts pratiquent encore.
À ne pas manquer :
• Quartiers de Shibuya, Shinjuku, Harajuku, Asakusa
• Sanctuaire Meiji-jingu
• Temple Senso-ji
Troisième plus grande ville du pays, Osaka est la capitale économique de la région du Kansai.
Elle a longtemps été la ville des marchands et du commerce du riz.
La construction du château fortifié d’Osaka en 1583 va durer 15 ans.
Il est édifié sur les ruines d’un important temple bouddhiste.
Sa construction a été l’occasion de créer un nouveau schéma urbain pour le développement de la cité.
Il a été le théâtre de nombreuses batailles épiques au XVIème et XVIIème siècle.
Le donjon compte 5 niveaux. Couvert de feuilles d’or il est entouré de citadelles secondaires, de tourelles et d’impressionnants murs de pierre.
Autour du château s’étend un immense parc.
Inauguré en 2014, la tour Abeno Harukas est aujourd’hui le plus grand immeuble du Japon.
D’une hauteur de 300 mètres, les derniers étages de la tour qui en compte 60 sont reservés à la contemplation.
Un des lieux favori de la population d’ Osaka est la tour Tsutenkaku qui veut dire « tour qui mène au ciel ».
Détruite par un incendie en 1943, les habitants se sont mobilisés pour sa reconstruction. Elle domine aujourd’hui le quartier de Shinsekai du haut de ses 103 mètres.
La ville est parsemée de rivières et de canaux comme la rivière Yodo qui vient de jeter dans la baie d’Osaka.
C’est ici que s’élève une des œuvres architecturales les plus étonnante de la ville, le gratte ciel en forme d’arche Umeda Sky Building.
Il mesure 173 mètres et réunis deux immeubles de bureaux. Au dernier étage la tour dispose d’un observatoire.
Il faut savoir que Osaka est considérée comme la petite sœur de la capitale Tokyo.
Il s’agit aussi d’une ville de divertissement.
Les villes japonaises ont souvent leur grand bâtiment dédié au sport ou aux concerts comme l’Osaka Dome qui peut accueillir jusqu’à 36 000 spectateurs
Le parc Universal Studios Japan (USJ) au Sud de la ville est dédié aux productions holywoodiennes.
Il a la particularité de consacrer certaines attractions aux héros de la culture japonaise (nouvel espace Mario Bros). USJ accueille plus de 10 millions de personnes chaque année.
À ne pas manquer :
• Quartiers de Namba, Shinsekai
• Château d’Osaka
• Aquarium
• Tour Abeno Harukas
• Tour Umeda Sky Building
Dans la baie d’Osaka, Kobe compte plus d’un million d’habitants.
Dans de nombreux ports, l’intense trafic maritime a nécessité la création d’îlots artificiels comme Port island qui permet de gagner du terrain sur la mer et étendre les infrastructures industrielles de la ville.
Jusqu’au milieu du XIXème siècle, le Japon était un pays partiellement fermé.
Kobe devient à partir de 1868 une des première ville japonaise à s’ouvrir au commerce maritime avec l’occident.
Intérêts : histoire, nature
Au Sud-Ouest de Honshu, on atteint par la mer intérieure de Seto le port de Hiroshima.
La ville compte un peu plus d’un million d’habitants.
Symbole de la seconde guerre mondiale, son nom est associé à la terrible explosion atomique qui a détruit la ville le 6 août 1945.
Le mémorial de la paix entre deux bras de la rivière Motoyasu a été construit quelques années seulement après l’explosion.
Il est le lieu de mémoire consacré à toutes les victimes de la bombe atomique.
Le 6 août 1945., la bombe fait 140 000 morts. Depuis cette date, le chiffre ne cesse d’augmenter.
Aujourd’hui, le nombre de victimes est estimé à plus de 300 000. La bombe surnommée Little Boy par les américains a explosé à une hauteur de 600 mètres au dessus de la ville.
La cible du pilote transportant la bombe était le pont en forme de T, le pont Aioi.
Le dôme de la bombe atomique, vestige de l’explosion est un des rares bâtiments qui témoigne encore de l’événement.
Devenu symbole de paix pour le monde entier, l’ancien hall des industries de la préfecture d’Hiroshima a été conservé en l’état.
Au delà des monuments témoins de cette période tragique, vous pourrez découvrir d’autres lieux qui valent le détour en plein cœur de la ville.
À ne pas manquer :
• Musée de la paix
• Dôme de Genbaku
• Château d’Hiroshima
• Jardins Shukkei-en
Intérêts : histoire, nature
Vous viendrez admirer un des sanctuaires les plus connus du Japon, le sanctuaire d’Itsukushima.
À marée basse on peut venir rêver sous les arches vermillions du torii qui se reflète dans l’eau turquoise.
Ici depuis le VIème siècle, on vénère les esprits qui assurent la prospérité de la nation et protègent les marins.
Les divinités de le religion shinto que les japonais vénèrent se cachent dans les recoins de la nature.
Autour de l’île de Miyajima, grâce au climat tempéré de la mer intérieure de Seto, on élève les huîtres depuis le XVIème siècle.
Réputée pour sa taille volumineuse et son goût corcé, l’huître d’Hiroshima est connu dans tout le pays.
Non loin des côtes les parcs à huîtres et leurs tiges de bambous pointent vers le ciel et quadrillent de manière élégante la surface paisible de la mer. Protégée par la terre, la situation de la mer intérieure de Seto donne une eau très calme et un lieu idéal pour l’élevage.
Sur l’île, vous pourrez apprécier de nombreux trésors et vous croiserez d’innombrables daims en liberté.
Vous seriez bien inspiré en vous rendant en haut du mont Misen où vous bénéficierez d’une vue imprenable sur toute la région environnante.
À ne pas manquer :
• Sanctuaire d’Itsukushima
• Temple Daisho-in
• Senjokaku
• Mont Misen
Intérêts : nature, culture et gastronomie
Situé à environ 35 kilomètres d’Osaka, Chihayaakasaka et le mont Kongo sont des destinations historiques et pittoresques situées dans la chaîne de montagnes du Kongo qui borde la préfecture de Nara.
Cet endroit tranquille abrite de magnifiques rizières en terrasse et la plus haute montagne de la préfecture d’Osaka.
La région est populaire auprès des randonneurs et des cyclistes, leur offrant une vue imprenable sur les saisons mais aussi de délicieux produits locaux.
Autrefois, la région a été le site de batailles légendaires menées par le général samouraï Masashige Kusunoki au XIVème siècle.
À ne pas manquer :
• Château de Chihaya
• Rizières en étage
Intérêts : cyclisme, campagne, architecture traditionnelle
Hida Furukawa est une petite ville au bord de la rivière dans les montagnes de la préfecture de Gifu.
Elle est située à quelques encablures de Takayama et est facilement accessible en train.
Les maisons traditionnelles en bois et les temples sont tout à fait pittoresques et très photogéniques.
À ne pas manquer :
• Maisons typiques
• Faire du vélo à la campagne
• Les canaux remplis de carpes
• Le Festival Furukawa tous les mois d’avri
Intérêts : nature, histoire, culture (patrimoine mondial de l’UNESCO)
Kinosaki a été pendant très longtemps une sorte de joyau caché surtout visité par les Japonais.
Avec des villes comme Tokyo, Kyoto et Hiroshima qui attirent l’attention des visiteurs internationaux, peu de visiteurs étrangers avaient tendance à se rendre dans cette ville thermale située le long de la rivière Otani-gawa, bordée de saules.
Il est encore temps de se rendre à Kinosaki qui reste préservé du tourisme de masse.
À ne pas manquer :
• Séjour dans un ryokan traditionnel
• Revêtir un yukuta et circuler de onsen en onsen
• Se promener le long de la rivière
Intérêts : nature et culture
Kumano est célèbre auprès des japonais comme faisant partie de l’ancien chemin de pèlerinage de la région de Mie.
L’itinéraire a été inscrit en 2004 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO et on comprend bien pourquoi une fois sur place.
Outre le sentier de montagne Matsumoto Toge de la région, il y a beaucoup d’autres merveilles naturelles à apprécier, ce qui rend un séjour prolongé dans la ville intéressant.
Il est possible de réserver des tours en taxi et en bateau pour que les visiteurs puissent profiter au maximum des curiosités situées à l’écart du centre-ville.
À ne pas manquer :
• Sanctuaire Naisha-taisha
• Sanctuaire Hongu-taisha
• Sanctuaire Hayatama-taisha
• Kumano kodo (ancien chemin de pèlerinage)
• Kushimoto (mer)
Intérêts : nature, détente et randonnée
Le principal avantage du lac Biwa est son emplacement.
Si vous êtes à Kyoto, vous devriez vraiment envisager de passer au moins 24 heures autour du lac Biwa, facilement accessible en une vingtaine de minutes de train depuis Kyoto.
À ne pas manquer :
• Sanctuaire Shirahige-jinja
• Château de Hikone (particulièrement pittoresque pendant la saison de la floraison des
cerisiers)
• Plantations de riz
• Une nuitée dans un ryokan au bord du lac
Intérêts : nature, culture et histoire
Le mont Koya est une montagne sacrée isolée située au sud d’Osaka. Il s’agit du lieu de naissance du bouddhisme Shingon.
On peut passer la nuit dans les anciens temples et toucher du doigt le quotidien des moines.
On peut par exemple assister à la prière du matin avec eux.
Le cimetière bouddhiste d’Okunoin abrite plus de 200 000 pierres tombales et le mausolée de Kobo Dashi, le fondateur du bouddhisme Shingon.
À ne pas manquer :
• Le cimetière d’Okunoin et le mausolée de Kobo Daishi
• Séjour d’une nuit dans un temple bouddhiste traditionnel
• Dégustation de la cuisine bouddhiste végétarienne, appelée shojin ryori
Intérêts : nature, culture et gastronomie
Nagiso est probablement un endroit absolument méconnu des touristes et pourtant, c’est un véritable havre de paix, située en plein cœur des Alpes japonaises avec des forêts à perte de vue.
On pourrait penser que les activités soient limitées mais pas du tout.
De plus, Nagiso constitue un excellent point d’ancrage pour partir visiter les villages pittoresques de Tsumago et Magome.
À ne pas manquer :
• Artisanat local
• Chutes d’eau Tadachi-no-taki
• Pont Momosuke
• Randonnées en pleine forêt
• Temple Tokaku-ji
• Temple Kotoku-ji
• Temple Kabuto Kannon
Intérêts : histoire, culture (patrimoine mondial de l’UNESCO) et nature
Située dans contres-forts, la petite ville de Nikko est une destination pleine de sens pour un touriste à la recherche de connaissances dans un endroit hors du commun.
Certains des plus beaux sanctuaires et temples du Japon sont situés ici, et ils sont inscris au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Nikko est à seulement deux heures de train de Tokyo.
Il s’agit d’une des meilleures excursions d’une journée que vous puissiez faire depuis la capitale même si je recommande toujours d’y rester au moins 48 heures pour profiter également des paysages au Nord de la ville.
À ne pas manquer :
• Sanctuaires de Toshogu et Futarasan
• Lac Chuzenji
• Cascade Kegon
• Cascade Ryuzu
Intérêts : nature, artisanat et gastronomie
Le paisible village d’Ogawa est niché au cœur du district montagneux de Kamiminochi de la préfecture de Nagano.
Du haut de ses pentes, les visiteurs d’Ogawa peuvent admirer l’une des vues les plus spectaculaires du Japon : un panorama intact des Alpes du nord, du mont Kitakuzu au sud jusqu’au mont Korenge au nord.
Des routes de montagne sinueuses relient les fermes et les vergers locaux au village situé dans la vallée en contrebas.
La région est enneigée pendant l’hiver, mais ses fermes et ses champs brillent de mille feux du Printemps à l’Automne.
À ne pas manquer :
• Ancienne demeure de la famille Yoshida
• Vignoble Musashi
• Brasserie Seiun
• Parc Tochimoto Shinsui
Intérêts : nature
Hokkaido compte de très nombreux parcs nationaux absolument splendides mais le joyau est peut être le parc Daisetsuzan situé dans le centre de l’île.
Parcourus de dizaines de volcans dont certains atteignent 2 000 mètres, le parc Daisetsuzan est un écrin de nature et une destination rêvée pour les randonneurs et les amoureux de sports d’hiver.
Selon les Ainus, ces montagnes abritent des esprits divins puissants et bienveillants.
À ne pas manquer :
• Onsen (Tenninkyo, Tomuraushi, Daisetsu et Aizankei)
• Mont Asahidake (2290 mètres) – volcan endormi
• Village-onsen de Sounkyo qui possède également une chute d’eau remarquable et une gorge creusée dans la roche volcanique
Intérêts : nature, plages
La péninsule d’Izu peut s’avérer un excellent choix pour week-end en partant de Tokyo.
Le trajet en train d’Atami à Shimoda est absolument fabuleux. Le train serpente la côte Est de la péninsule et on ne peut que rester rêveur derrière les fenêtres.
On traverse également une zone totalement vierge qui ressemble à une jungle.
Izu est un très bon endroit pour se détendre et voir à quoi ressemble la campagne nippone.
La région compte un nombre incalculable de onsen.
À ne pas manquer :
• Onsen : Hashiriyu Onsen (un des trois plus vieux onsen du pays)
• Château d’Atami
• Masuzaki (empilements de pins et îlots le long des rivages rocheux et des criques isolées)
• Amagi-san (Mont Amagi)
• Izu Shoto (célèbre archipel de la péninsule)
• Ville de Shimoda
Intérêts : nature, culture et gastronomie
Sagae est une petite célèbre pour ses délicieuses cerises.
Où que vous alliez dans la ville, vous trouverez des photos de cerises de toutes les formes et de toutes les tailles.
Ces fruits provenaient de Turquie et étaient exportés vers l’Europe et les Etats-Unis, avant
d’atteindre finalement la région de Sagae au Japon.
Pour commémorer cet événement, les rues sont remplies de drapeaux turcs et japonais alignés côte à côte.
Les gens du pays sont très fiers de leur « culture de la cerise », et vous serez certainement époustouflé par la saveur de leurs produits à base de cerises.
À ne pas manquer :
• Cherry land
• Musée de la cerise
Intérêts : nature, culture (patrimoine mondial de l’UNESCO)
Shirakawa est un petit village situé en contrebas de la montagne sacrée Haku-san (mont Haku du haut de ses 2702 mètres), l’une des trois montagnes saintes du Japon qui est aussi un volcan en sommeil.
Les maisons sont construites dans le style traditionnel (gassho-zukuri) qui couvre un large éventail de bâtiments traditionnels, y compris les maisons de ferme, de commerçants et d’artisans.
Les maisons à ossature en A ne sont pas non plus le fruit du hasard, car cette région du Japon reçoit les plus fortes chutes de neige du pays en hiver.
Certaines des maisons de ces villages ont plus de 300 ans.
À ne pas manquer :
• Maisons traditionnelles
• Vue depuis le haut de la colline
Intérêts : nature, randonnée
Voilà une vallée idyllique encadrée par des montagnes.
Cette partie du Japon fut pratiquement fermée au monde extérieur pendant mille ans.
Les gorges profondes qui caractérisent si bien cette vallée en ont fait un lieu parfait pour s’y cacher à l’époque médiévale du Japon (autour du XIIème siècle).
Ce n’est que vers 1920 que la première route a été construite.
À ne pas manquer :
• Mont Tsurugi
• Onsen
Intérêts : nature, cyclisme, randonnée
Le petit bourg de Wakasa sur la mer du Japon a tout pour plaire.
Son musée d’histoire locale présente les découvertes archéologiques de la région datant de l’époque Jomon, les cinq lacs de Mikata présentent un éventail de paysages japonais dans toute leur splendeur et les visiteurs peuvent également profiter des délices culinaires de la région.
À ne pas manquer :
• Cinq lacs Mikata
• Kumagawa-juku
• Cascades Uriwari
• Parc Rainbow Line summi
Intérêts : ski et sports d’aventure, onsens et paysages
Yuzawa est un lieu de villégiature dans la province de Niigata. Historiquement, la ville était connue pour ses nombreuses stations thermales.
Aujourd’hui, Yuzawa est plutôt connue des japonais pour le ski et l’aventure.
Bien que la ville ne soit pas populaire parmi les occidentaux, il y a beaucoup de choses à voir et à faire, en particulier pour ceux qui ont soif d’aventure et souhaitent découvrir des paysages splendides ou tester un bon onsen.
À ne pas manquer :
• Parc des lucioles d’Otsuki
• Promenade littéraire de Takahan Ryokan au sanctuaire de Suwa
• Musée du saké de Ponshukan
Un des 3 lieux les plus sacrés du Japon après le Mont Hiei et le Mont Koya.
Théâtre d’atrocités lors de la période des Chrétiens cachés.
Une des plus grandes grottes calcaires d’Asie
Phénomènes de tourbillons Naruto.
À proximité de la ville se trouve curiosité géologique : des dunes de sable.
Âgées de plus de 100 000 ans, les dunes de Tottori ont été créé à partir des dépôts de sédiment transportés des montagnes voisines par la rivière Sendai.
Les courants marins ramènent le sable du fond de la mer et la hauteur des dunes varient au gré du vent.
Certaines atteignent 50 mètres.
Longues de 16 kilomètres, les dunes de Tottori sont devenues un passage incontournable pour les touristes.
Le sable, c’est l’élément indispensable qui remplace l’eau dans les jardins japonais.
Considérée comme l’une des meilleures vues nocturnes du monde.
Endroit le plus célèbre pour l’observation des cerisiers en fleurs dans la région
du Kansai.
Lieu fabuleux pendant le festival annuel de la neige (yuki-matsuri) en janvier.
Endroit sympathique pendant l’été pour profiter des joies de la pêche.
Célèbre pour son melon.
Ville onsen située à une heure de Takayama et idéal pour déguster des bons petits plats.
L’hiver, la terre et l’eau ne font plus qu’un.
Les poissons sont attirés par le cril du Pacifique.
Ayant au préalable découpés la glace à l’aide d’une tronçonneuse, les pêcheurs déposent au début de l’hiver plusieurs type de filets permanents qu’il leur faut relever régulièrement.
L’été, les 5 600 hectares de lagune redeviennent liquide et la nature reprend ses droits.
Des forêts d’épicéas de l’île Sakhaline y prospèrent sur les bancs de sables et de très nombreuses d’espèces d’oiseau y nichent ou y font étape.
On en recense près de 300.
La région prend des airs de petits paradis.
La péninsule de Shiretoko est classée au patrimoine mondial de L’UNESCO du fait de sa très riche biodiversité.
Shiretoko signifie le bout de la terre en autochtone et il s’agit d’un des endroits les plus sauvages du pays.
La péninsule s’allonge sur 70 kilomètres composés de crêtes volcaniques recouvertes de forêts et dominée par le mont Rausu.
Le lac Akan est une ancienne caldera, dominé par le volcan Meakan l’un des plus actifs de l’île.
Vous pourrez y apercevoir la grue du Japon, symbole de longévité et prospérité. On compte 2 000 spécimens à Kushiro.
Les eaux cristalines du lax Mashu compte parmi les plus transparentes du monde.
On peut apercevoir jusqu’à plus de 15 mètres sous la surface.
Depuis les temps anciens, les Ainus vénèrent le lac comme le lac des Dieux.
Encerclés par d’immenses falaises de 400 mètres, il est quasiment inaccessible.
Le lac Mashu ne peut s’admirer que du ciel.
Au centre de l’île de Hokkaido se trouve le mont Tokachi.
Ces massifs volcaniques appartiennent au parc national Daisetsuzan, un des plus vastes du Japon et un des plus anciens.
Le peuple Ainus le surnomme le jardin des Dieux.
Le mont Tokachi est un des volcans les plus actifs de Hokkaido, il est constitué de plusieurs stratovolcans et dômes de laves imbriqués.
Le volcan fait l’objet d’une surveillance permanente.
L’île d’Hokkaido est réputée pour son enneigement exceptionnel.
Habillé de son manteau d’hiver ses montagnes se couvrent d’une des plus belle poudreuse au monde.
Ce paysage pittoresque est devenue une zone très touristique.
La rivière peut devenir dévastatrice couplé à la force du volcan, on appelle cela un lahar.
Il s’agit d’un des phénomènes volcaniques les plus dangereux lorsque la rivière charrie des cendres, des roches et des gros débris qui se transforme en coulée de boue très dense détruisant tout sur son passage.
En cas d’éruption du mont Tokachi, des débris peuvent arriver ici en 5 minutes.
Si l’eau est si bleu c’est car elle provient des volcans.
Elle contient de l’aluminium coloidal qui reflète la lumière du ciel.
Sur la côte Pacifique, au cap Erimo, les membres de la tribu Ainus fabriquaient des talismans et et offraient du sake à leur Dieu pour implorer la sécurité des marins.
Les vents violents qui soufflent toute la journée fait du cap Erimo un lieu de passage risqué pour les navires.
« Les Ainus sont en très forte symbiose avec la nature. Les chants Ainus sont composés de phrases qui se superposent. Nous sommes en quelque sorte en transe et on ne sait pas qui chante quoi et comment.
Rendre les bruits de la nature c’est ce que faisaient les Ainus autrefois. Les bruits de la nature étaient comme les voix des Dieux c’est ce que croyait les Ainus. Ils observaient beaucoup la nature.
Il y a beaucoup de contes avec des dieux et des plantes et quand on les raconte ou les écoute. On a une autre vision du Japon.
Le plus important c’est de faire entendre les éléments invisibles qui sont autour de nous.
Parmi les plantes qu’on trouve a Hokkaido, beaucoup on des noms Ainus et pas japonais.
Le feu, dans la vie quotidienne est un élément indispensable pour les Ainus : pour faire la cuisine, pour se réchauffer, donc le feu c’est le Dieu le plus important.
Quand on prie, on allume toujours un feu et on prie la déesse du feu, c’est une divinité essentielle. »
Les Ainus ne seraient plus que quelques dizaines de milliers à Hokkaido mais leur culture fait l’objet d’un regain d’intérêt et donc d’une protection accrue.
La vallée de l’enfer Jigokudani (un lieu d’un haut niveau d’activité volcanique) est célèbre pour ses fumerolles, ses jets de vapeur et ses émanations aux odeurs puissantes.
Il s’agit d’un cratère d’un volcan dormant.
On y trouve 15 sources chaudes qui a fait de Noboribetsu l’une des villes d’onsen les plus réputées du Japon.
Chaque source possède de nombreuses vertus thérapeutique.
Les onsens de Noboribetsu sont très souffrés. L’eau sort à une température moyenne de 70 degrés.
Elle est ensuite acheminé dans les différents hôtels. Dans ces hôtels les températures d’utilisation sont différentes.
Les japonais sont très attachés à la pratique de l’onsen qui remonte à l’antiquité et ils sont donc très exigeants quant à la qualité et à la température de l’eau.
Au sud ouest le mont Yotei s’élève au dessus des vallées et des plaines agricoles de Kuchan.
Il s’agit d’un stratovolcan d’une hauteur de 2 900 mètres.
Sa ressemblance avec le mont Fuji est tel qu’on le surnomme le mont Fuji du Nord.
Son sommet est un grand cratère circulaire de 700 mètres carré.
Le mont Yotei est réputé pour ses ascensions.
L’hiver certains skieurs téméraires viennent affrontés ses pentes abruptes.
Ce géant veille depuis plus de 50,000 ans sur ses pleines environnantes.
Urakawa se situe au pied des monts Hidaka, entre les montagnes et l’océan Pacifique.
De petites plaines littorales sillonnées par des rivières descendants des monts Hidaka s’épanouissent entre les reliefs.
Urakawa est reconnu comme le fief d’élevage des chevaux de courses.
Hokkaido regroupe 90% des élevages du Japon soit près de 800 fermes.
Le district d’Urakawa en compte à lui seul près de 300.
De nombreux champions y sont nés, essentiellement des pur sang qui ont remporté des courses célèbres.
Certains chevaux sont considérés comme de véritables dieux (il faut savoir que les courses hippiques sont très populaires au Japon).
Il s’agit d’une porte d’entrée naturelle de l’île de Hokkaido.
Situé au nord de la ville éponyme, le volcan Komagatake est un des grands volcans en activité.
En 1640 une terrible éruption détruit une partie du sommet et entraîna une famine qui frappa toute la région.
Ses rejets empoisonnent les sols, les cultures et le bétail.
Depuis cette époque il est entré une vingtaine de fois en éruption.
Malgré sa sérénité apparente, le mont Komagatake est toujours une menace pour la population voisine.
Dans la ville de Kitakami, le parc municipal de Tensochi s’étend le long de la rivière.
Il est connu dans tout le pays car des centaines de cerisiers habillent les berges sur deux kilomètres.
Au mois d’avril lors des fêtes de hanami, les japonais viennent très nombreux y admirer les fleurs de cet arbre sacré.
Dans la culture japonaise, les fleurs de cerisiers sont une métaphore de la fragilité et de l’impermanence de la vie.
Dans les parcs et les villes quelques jours avant le bunkai, les japonais se préparent sous les arbres à fêter la nouvelle année.
Parmi les paysages les plus caractéristiques du Japon, il y a les immenses rizières.
La région de Tsuruoka est irriguée par les rivières Aka et Mogami.
La vie des rizières occupe toute l’année la vie des paysans japonais.
Au printemps, les jeunes plants quittent les pépinières et les pouces sont alors regroupées en petites bottes pour faciliter leur transport vers les champs.
Les planteuses de riz automatiques ont aujourd’hui remplacée le dur travail du repiquage à la main.
Elles se sont généralisées sur toute l’île et accompagnent la production annuelle de milliers de tonnes nécessaire à la consommation quotidienne du peuple japonais.
Les parcelles s’étendent sur 40 000 hectares du Nord au Sud, dans la plaine de Shonai.
La saison du riz sur l’île dure d’avril à octobre.
Au pied du mont Hakuro, au cœur d’une forêt de cèdres multicentenaires se dresse une pagode à 5 étages, la plus ancienne du Tohoku.
Elle témoigne de l’importante vénération dont fait l’objet le mont.
Depuis plus de 1000 ans, il est l’une des trois montagnes de Dewa, un site de pèlerinage de la tradition Shugendo, une branche japonaise du bouddhisme mêlée de shintoïsme et de taoïsme.
Les Yamabushi, les moines et prêtres du Shugendo, se retiraient dans les montagnes pour méditer et prier.
Ils y vivaient une vie de dénuement en harmonie avec la nature et les éléments.
Au sommet du mont, au bout d’un escalier de 2446 marches se dresse le sanctuaire Dewasanzan où on vénère encore les divinités de la montagne.
Un lieu emprunt d’une profonde spiritualité qui attire encore aujourd’hui de très nombreux pèlerins.
Dans le quartier des prêtres, le saikan, le dernier de la région y sont accueillis par le chef qui perpétue des traditions culinaires tout à fait particulière au Shugendo.
Des pratiques des moines bouddhiste est né une cuisine appelée shojin ryori.
Elle est inspirée d’une part d’une part des principes végétariens commandés par le bouddhisme et d’autre part de la manière qu’on toujours eux les habitants de la région de s’accommoder des ressources saisonnières de la région.
Son but est de faire ressentir l’esprit des trois montagnes de Dewa à travers la nourriture même.
Une cuisine proposée dans les monastères et toujours basé à partir de la cueillette d’ingrédients locaux qu’ils conservent pour l’hiver dans la saumure.
Le shojin ryori est une cuisine dont l’influence s’est propagée à travers tout le pays inspirant même certains éléments du repas traditionnel japonais tout à la fois goûteuse et spirituelle.
La côte de Sanriku s’étend sur plusieurs centaines de kilomètres englobant notamment le littoral d’Iwate.
Incluse dans le parc national de Sanriku Fukko, il s’agit d’une côte rocheuse, tourmentée et généralement haute dont les falaises s’élèvent jusqu’à 200 mètres au dessus de l’Océan Pacifique, accrochant à leur sommet de nombreux pins rouges du Japon.
Ces falaises servent de petites baies enjambées par les viaducs de trains local qui longent le littoral entre les villes de Sakari et de Kuji.
Sauvage et superbe par endroit c’est aussi la côte qui a subi de plein fouet la puissance dévastatrice du tsunami de mars 2011.
Les japonais au cours de leur histoire ont connu de très nombreuses catastrophes naturelles et ont appris à les accepter avec courage et philosophie.
Les autorités ont aussi décidé de protéger les populations de la côte Est du Tohoku en reconstruisant de puissants murs anti-tsunami, certains haut de près de 15 mètres sur près de 400 kilomètres de littoral (un investissement colossal dont certains doutent de l’efficacité en cas de nouvelle catastrophe majeure).
Du haut de ses 3776 mètres, le mont Fuji domine le Japon et l’imaginaire de ses habitants.
Il inspira de nombreux grands artistes comme Hokusai et Hiroshige qui chacun lui dédièrent des séries d’estampes devenues mondialement célèbres.
Volcan à la symétrie parfaite, silencieux depuis 1707, le mont Fuji est entouré de champs de fleurs, de lacs et de forêts et parcourus chaque année par des millions de visiteurs et de pélerins.
Montagne exceptionnelle et sacrée, le mont Fuji a été classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 2013.
Pilier de l’unité national pour tout un peuple, de nombreux japonais le gravissent au moins une fois dans leur vie en quête de purification et de bien être spirituel.
L’ascension du mont Fuji était interdite aux femmes jusqu’en 1872.
Du haut de ses 3 015 mètres, le mont Tate est une des trois montagnes sacrées du Japon avec le mont Fuji ainsi que le mont Haku.
Au pied du mont Tate, la chute d’eau Shomyo est la plus haute du pays avec 350 mètres de hauteur.
Le mont Yari est très apprécié des randonneurs.
Longtemps considéré comme sacré par les japonais, l’ascension des montagnes se réalisait comme un acte religieux.
Les crêtes et les vallées s’étendent sur ses flancs en forme de pyramide rocheuse.
Le mont Yake qui veut dire la montagne brûlante est un ancien volcan composé de deux pics.
Il a la particularité d’abriter à son sommet un lac de cratère.
Il culmine à 2 455 mètres.
Dans la baie de Suruga, les marins bénissent leurs bateaux avec un peu de sake et du sel avant de partir pour la nuit.
Deux fois par an au printemps et en automne, on pêche une minuscule crevette de 4 cm : la crevette cerise.
Elle est appelée ainsi car sa couleur évoque celle des cerisiers japonais.
Le jour la crevette repose par plus de 200 mètres de fond.
La nuit elle remonte se nourrir de plancton.
Les pécheurs de crevettes cerises ont été parmi les premiers à se fixer des quotas pour éviter la disparition de l’espèce : seulement 120 bateaux sont limités pour pêcher cette crevette rare.
Des bateaux travaillent par deux : un bateau tire le filet dans la mer pendant que l’autre bateau récolte les crevettes cerise.
De retour au port on fait sécher les crevettes sur de longues bâches noir au soleil.
Elles sont ensuite vendues sur les marchés de toute la région.
On cultive le thé vert sancha le plus courant au Japon.
L’archipel produit prêt de 80 000 tonnes de thé par an.
Connu pour ses bienfaits naturel et vivifiant, le thé était utilisé par les moines bouddhistes lors de leurs longues périodes de méditation.
Vu du ciel, l’idéogramme du mot thé domine les champs.
Situé au Nord-Est, il s’agit du plus grand lac d’eau douce du Japon et le plus vieux du monde.
Âgé de 4 millions d’années, il est si vaste qu’il sert de réserve en eau potable pour les habitants de Kyoto.
C’est sur le lac Biwa qu’on cultive l’huître perlière depuis la fin du XIXème siècle.
Symbole de la haute société japonaise, les perles étaient les ornements indispensables de la couronne de l’empereur.
La culture de la perle d’eau douce s’est développée au début du XXème siècle.
Il faut trois années à la perle pour arriver à maturité.
Elle est extraite délicatement par les éleveurs.
Le mollusque pourra produire une deuxième voire une troisième génération de perle.
Le succès commercial de la perle du lac Biwa est éclatant dans les années 1930 jusqu’à la seconde guerre mondiale.
La brillance et les reflets nacrés de la perle Biwa en ont fait sa réputation.
Les japonais ont pour habitude de les porter aux cérémonies de mariage et lors de funérailles.
Dans les années 1970 la forte concurrence venue de Chine ralentie la production.
Aujourd’hui le travail des fermes perlières a repris.
Le Daimon est l’entrée du monastère de Koyasan.
C’est la frontière entre le monde sacré derrière la porte et le monde normal de l’autre côté.
C’est un sanctuaire érigé par Kobo daishi, fondateur de l’école bouddhiste Shingon.
Koyasan est un site très apprécié des touristes. On compte un million de visiteurs par an.
Kobo Daishi a dédié ce site de Koyasan à la prière pour le bonheur de tout être vivant quel qu’il soit.
Aujourd’hui le monastère compte 117 temples mais à l’époque Edo il y a 200 ou 300 ans, il y avait plus de 1 000 temples.
Les arbres les plus vieux ont 800 ans.
Vous pourrez découvrir le Okuno-in, le plus grand cimetière du pays.
On compte près de 200 000 tombes.
Ce cimetière en pleine nature est très ouvert.
Épargnée par les guerres et les catastrophes naturelles, cette côté est très sauvage et le littoral précieusement conservé.
Certaines criques abritent encore des villages traditionnels, exposés au vent violents qui soufflent de la mer.
Sur la péninsule de Noto dans le village Ozawamachi, les longues tiges de bambous de 3 mètres de haut protègent les habitations.
C’est une technique ancestrale utilisée dans les villages côtiers pour lutter contre le vent et les rayons ardents du soleil en été.
Parmi les collines qui bordent la mer, on peut contempler de grandes rizières, habilement aménagées en terrasses.
À Shiroyone, plus de 1 000 parcelles se dessinent en cascade jusqu’à la mer sur quatre hectares.
Admirablement entretenues et irriguées grâce à un savoir faire traditionnel, elles font partie de l’héritage agricole mondial.
Dans ces rizières, tout le travail se fait à la main. Elle dessine à flanc de mer un paysage magnifique.
Traditionnellement depuis plus de 2 000 ans, des femmes plongent en apnée (les « ama ») récolter les trésors des fonds marins.
La pêche est limitée à 70 minutes alors dès que le signal est donné, c’est la course aux coquillages, aux poulpes et aux oursins.
Les ama effectuent en tout une centaine de plongées par jour.
L’âge moyen des ama dépasse les 65 ans. Elles sont les gardiennes d’une tradition millénaire qui risque de disparaître avec elle.
Vous pourrez découvrir les rochers jumeaux (meoto iwa) dans la baie de Ise.
Intérêts : plages, nature et culture
Les îles Goto sont un de mes derniers coups de cœur. Situées au large de Nagasaki, ces îles ont abrité les chrétiens cachés lors de la période d’interdiction du christianisme au Japon.
On y retrouve un nombre incalculable d’églises mais également des paysages fabuleux.
À ne pas manquer :
• Église Dozaki
• Église Hantomari
• Mémorial des martyrs Royanosako
• Phare d’Osezaki
• Plage de Takahama
Intérêts : plages, nature
Miyakojima est une île assez bien préservée, au sud de Naha.
Son principal avantage réside dans le fait que très peu de touristes étrangers s’y rendent ce qui permet d’être totalement dépaysé durant son séjour en n’entendant parler que japonais autour de soi.
Un autre gros avantage est la variété des plages de l’île (crique sauvage, plage de sable blanc, plage de galets devant une mer remplie de poissons multicolores, …).
À ne pas manquer :
• Plage de Maehama (sable blanc)
• Plage de Sunayama (crique sauvage)
• Plage de Yoshino (barrière de corail et poissons multicolores)
Intérêts : plage, shopping, gastronomie
Naha, la capitale d’Okinawa, est une destination de vacances et un port de croisière très prisé des voyageurs qui visitent l’île pour une seule journée ou pour une plus longue durée.
Au-delà de sa côte sablonneuse, Naha est vraiment le lieu où se regroupe la jeunesse japonaise pour profiter des plages et faire la fête tout au long de l’année.
À ne pas manquer :
• Plage Naminoue
• Shopping sur Kohusai-Dori
• Brasserie Awamori
Intérêts : architecture et musées
Situé au large de Okayama, Naoshima est l’endroit idéal pour tous les passionnés d’architecture et d’art en général.
À ne pas manquer :
• Balade en vélo
• Musée d’art Chichu
• Musée Benesse
• Sculpture de la citrouille géante
• Musée Lee Ufan
Intérêts : camping, plages, nature
Située non loin de Kanazawa, Noto-jima est une île volcanique reculée de la péninsule de Noto.
Extrêmement sauvage, vous pourrez néanmoins trouver quelques attractions sympathiques pour remplir une bonne journée.
À ne pas manquer :
• Aquarium
• Musée d’art du verre
• Parc aquatique de Kaizoku
Intérêts : aventure, plage et nature
Ces îles situées dans la mer du Japon sont un endroit idéal pour s’évader de l’agitation des grandes villes de l’île principale de Honshu afin de se détendre dans la nature.
Rien de mieux que les longues promenades en forêt ou le long des côtes pour se ressourcer.
De nombreuses activités de plein air sont proposées comme le kayak de mer, la plongée sous-marine, le snorkeling, la pêche, l’écotourisme, le tout animé par une population locale très accueillante et désireuse de partager son quotidien.
À ne pas manquer :
• Sanctuaire Takuhi
• Sanctuaire Yurahime
• Sanctuaire Dangyo
• Camping
• Randonnée
• Vélo
• Activités liées à la mer
Intérêts : exploration, plage et nature
Cet archipel est situé au sud-est de Tokyo.
Ces îles ont été rendu tristement célèbre lors de la Seconde Guerre mondiale avec les nombreuses batailles qui se sont déroulées dans le Pacifique.
La plupart des îles font partie du parc national d’Ogasawara, qui protège ces magnifiques îles
volcaniques isolées et les collections d’espèces endémiques qui y vivent.
À ne pas manquer :
• Plongées sous-marines
• Exploration et randonnée
• Etude de la faune et de la flore
Intérêts : nature, l’histoire et les lapins !
Okunoshima, aussi connu sous le nom de l’île aux lapins, est l’une des destinations les plus insolites de la préfecture d’Hiroshima.
C’est une île de la mer intérieure du Japon, célèbre pour abriter des milliers de lapins qui courent en liberté et font la joie des visiteurs qui prennent des dizaines de photos.
À ne pas manquer :
• Profiter des lapins
• Exploration du musée de l’usine de gaz toxique
• Voir les vues sur la mer intérieure du Japon
Intérêts : aventure, plage et nature
Bien connue pour sa riche histoire, l’île est devenue une colonie pénitentiaire pour les exilés japonais dès le VIIIème siècle. Nichiren, le célèbre moine bouddhiste, a également fait de l’île sa demeure pendant quelques années à la fin du XIIIème siècle.
L’île offre de très belles vues, notamment au niveau de la baie de Senkaku.
On y trouve également différents points d’intérêts.
Néanmoins, l’île de Sado est aujourd’hui très célèbre pour son festival de musique annuel « Earth Celebration ».
À ne pas manquer :
• Mine d’or
• Musée d’histoire de Sado
• Temple Myosen-ji
• Temple Konpon-ji
Intérêts : plages, aventure et plongée
Les îles Yaeyama sont vraiment très pittoresques. Il s’agit de l’archipel habité le plus au sud du Japon, situé à environ 2 000 kilomètres de Tokyo.
Ishigaki est l’île principale, où la plupart de la population est installée.
C’est la principale plaque tournante des transports à destination et en provenance des îles Yaeyama avec des vols quotidiens à destination et en provenance de Tokyo.
Ici, la nature a totalement repris ses droits et si vous êtes à la recherche d’aventure (kayak, plongée, …), c’est définitivement le lieu où vous rendre.
À ne pas manquer :
• Centre culturel d’Ishigaki
• Plage de Kondoi sur l’île de Taketomi
• Sushi frais dans les restaurants d’Ishigaki
• Plongée sous-marine dans les îles Yaeyama
• Taketomi-jima sur Ishigaki
• Baie de Kabira sur Ishigaki
• Mont Omoto sur Ishigak
Intérêts : nature, randonnée et mer
Yakushima est une île située au sud de l’île de Kyushu.
Bien que classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, l’île reste relativement méconnue des touristes étrangers. L’île est recouverte d’une forêt luxuriante et est surtout connue pour ses cèdres anciens.
Ces géants ont des milliers d’années et peuvent avoir des circonférences allant jusqu’à environ 30 mètres.
Le pittoresque ravin de Shiratani Unsuikyo est entièrement couvert de mousse et a inspiré Hayao Miyazaki lorsqu’il a réalisé le film d’animation Princesse Mononoke.
À ne pas manquer :
• Randonnée dans le ravin Shiratani Unsuikyo
• Nidification des tortues de mer et observation des éclosions à Nagatahama beach (fin avril à
fin septembre)
• Baignade à Hirauchi Kaichu Onsen (sources chaudes dans l’océan)
Intérêts : Plongée
Située à seulement 100 kilomètres de Taiwan, il est possible d’apercevoir les contours d’Ilha Formosa par temps clair depuis l’une des îles les plus éloignées, mais encore habitées, du Japon. Yonaguni est situé à l’extrémité ouest des îles Yaeyama, dans le coin le plus éloigné de la préfecture d’Okinawa.
À ne pas manquer :
• Superbe plongée sous-marine
• Monument du Cap Irizak
Intérêts : détente
Située à seulement quelques minutes en train de Kobe, c’est ici que les habitants de la baie d’Osaka viennent se détendre.
De la plage, on aperçoit le pont Akashi Kaikyo, le plus grand pont suspendu du monde.
Il a été conçu pour résister à des vents puissants et a des tremblements de terre de 8,5 sur l »échelle de Richter.
Long de près de 4 kilomètres, il s’élance le long du détroit d’Akashi pour relier les quartiers de l’ouest de Kobe à l’île d’Awaji.
À ne pas manquer :
• Superbe plongée sous-marine
• Monument du Cap Irizak
Intérêts : histoire, artisanat, gastronomie
La petite ville d’Ashikaga est bien connue des japonais, car elle donne son nom à une époque de l’histoire du Japon – le shogunat Ashikaga de 1336-1573.
Les racines du nom de la ville proviennent du nom d’un clan originaire d’Ashikaga.
Aujourd’hui, la ville jouit d’une grande affluence de visiteurs grâce à plusieurs temples et bâtiments d’intérêt et grâce à relative proximité avec Tokyo.
La ville est aussi entourée de montagnes et est très appréciée des randonneurs.
À ne pas manquer :
• Parc floral
• Sanctuaire Kabasaki Hachimangu
• Sanctuaire Nagusa Itsukushima
• Sanctuaire Orihime-jinja
• Temple Bannaji
• Temple Tokuzo
• Parc Orihime
• Musée d’art Kurita
Intérêts : culture, histoire
Kitsuki est bien connue pour ses bâtiments et ses rues historiques magnifiquement préservés.
De nombreuses petites villes japonaises se décrivent comme » Petite Kyoto « , mais dans le cas de Kitsuki, c’est tout à fait justifié.
Une promenade dans la ville révèle plusieurs endroits fascinants pour les amoureux de l’histoire japonaise, y compris ce que l’on dit être le plus petit château du Japon, plusieurs maisons de samouraïs remarquablement entretenues et des pentes pavées qui ont relié les différents
quartiers de la ville depuis l’époque d’Edo.
À ne pas manquer :
• Château de Kitsuki
• Résidence Noumi
Intérêts : culture, histoire
Kurashiki dispose d’un canal préservé datant de l’ère Edo alors même que la petite ville était un centre de distribution du riz très important.
La plupart des petits entrepôts de riz ont été transformé aujourd’hui en coffee shop et en magasins de souvenirs ou d’artisanat dans le quartier Bikan.
À ne pas manquer :
• Quartier Bikan
• Canal
• Musée Ohara
• Maison Ohashi
• Square Ivy
Intérêts : nature, histoire
Le petit village de Magome était l’une des soixante-neuf stations relai sur la route de Nakasendo qui permettait de rejoindre Edo (actuel Tokyo) à Kyoto.
Aujourd’hui, tout l’intérêt de Magome réside dans son emplacement dans les montagnes et ses maisons traditionnelles en bois qui jonchent l’allée principale du village.
On pourrait tout à fait le comparer à un petit bourg dans les Alpes françaises avec ses chalets si typiques.
À ne pas manquer :
• Trail entre Magome et Tsumago
• Musée Wakihonjin
• Musée mémorial Honjin
• Petit sanctuaire situé en dehors de la ville dans une forêt (me demander via le formulaire pour plus de précisions)
Intérêts : histoire
La ville de Matsue est un choix très judicieux si vous souhaitez vous plonger en pleine période de Edo et parcourir des lieux chargés d’histoire en sillonnant cette ville-forteresse.
À ne pas manquer :
• Château de Matsue
• Jardins du musée d’art Adachi
Intérêts : histoire
Située à une petite vingtaine de minutes de Tokyo en train, Saitama est un petit condensé d’histoire.
Le » Petit Edo » de Kawagoe, bien qu’assez petit, est un exemple pittoresque d’architecture
traditionnelle japonaise où les ruelles photogéniques sont bordées de magasins artisanaux vendant des bonbons faits à partir de la spécialité de Kawagoe : la patate douce japonaise.
À ne pas manquer :
• Musée du chemin de fer
• Sanctuaire Hikawa-jinja
• Musée de la préfecture de Saitama
Intérêts : histoire
Située sur la côte est de la préfecture de Nagasaki, au bord de la mer d’Ariake, et accolé au mont Mayuyama, Shimabara offre de nombreux intérêts historiques et culturels.
Idéal pour une excursion d’une journée au départ de la ville de Nagasaki, ou pour un séjour d’une nuit dans l’un des hôtels onsen à proximité, Shimabara offre de nombreux avantages pour profiter d’un séjour de 24 à 48 heures.
Le lieu est très connu des japonais pour la bataille sanglante qui a eu lieu lors de la période de
l’interdiction du Christianisme sur l’archipel.
À ne pas manquer :
• Mont Unzen
• Musée dédié aux éruptions passées
• Château de Shimabara
• Ruines du château de Hara
Intérêts : histoire, culture et gastronomie
Située en plein cœur des Alpes japonaises, Takayama propose une plongée dans le Japon d’autrefois avec ces petites rues traditionnelles et ces nombreux temples situés en hauteur de la ville.
À ne pas manquer :
• Ancienne ville (rues traditionnelles)
• Takayama jinya (ancien centre de commandement)
• Balade Higashiyama (nombreux temples)
• Musée de l’art
Intérêts : nature, histoire
Le petit village de Tsumago était l’une des soixante-neuf stations relai sur la route de Nakasendo qui permettait de rejoindre Edo (actuel Tokyo) à Kyoto.
Aujourd’hui, tout l’intérêt de Tsumago réside dans son emplacement dans les montagnes et ses maisons traditionnelles en bois qui jonchent l’allée principale du village.
On pourrait tout à fait le comparer à un petit bourg dans les Alpes françaises avec ses chalets si typiques.
À ne pas manquer :
• Trail entre Magome et Tsumago
• Honjin
• Wakihonjin
• Temple Kotoku
Intérêts : nature, histoire
La région de Shimane est surnommée la province des Dieux.
Les kami, divinités du shintoisme la religion ancestrale japonaise, s’y rassembleraient par millions sur la plage d’Inasa en octobre, au pied du sanctuaire de Benten-jima.
Le dixième mois du calendrier lunaire est celui de la fête du kami Arizuki (« le mois des dieux »).
Les japonais se rassemblent dans l’un des sanctuaires considéré comme le plus anciens sanctuaire du pays, celui d’Izumo, dédié à Okuninushi, une divinité fondatrice et notamment associée au mariage.
Les japonais y viennent y solliciter la chance en amour et leur relations d’une façon générale.
Selon le Kojiki, le plus ancien receuil de mythes du Japon, les dieux shinto auraient d’abord résidé à Izumo où à la demande de la déesse mère Amaterasu, ils auraient construit le premier sanctuaire.
Si sa date de fondation réelle reste incertaine, l’actuel pavillon principal date de 1744.
Dans le Shimane, la mythologie est partout.
Il en va ainsi de la rivière Hii qui serpente depuis le mont Sentsu et s’épanouit dans la plaine d’Izumo. Ses fréquents débordements aurait inspiré une légende racontée dans le Kojiki et adapté par la suite dans une forme de danse théâtrale typiquement shinto, le kagura (« divertissement des dieux »).
À ne pas manquer :
• Sanctuaire Izumo-taisha
• Musée d’Izumo
Intérêts : artisanat
Arita Ware ou Aritayaki englobe les produits de poterie et de porcelaine de la ville d’Arita, sur l’île de Kyushu.
La production de ces pièces artisanales a débuté au XVIIème siècle.
Depuis, on considère ces produits en porcelaine comme étant les plus fins du pays, avec des peintures splendides réalisées entièrement à la main.
À ne pas manquer :
• Parc de porcelaine d’Arita
• Musée de la céramique
• Sanctuaire Tozan-jinja
• Centre-ville d’Arita très ancien
Intérêts : artisanat, cyclisme et gastronomie
Le plus grand attrait de Bizen est le Bizen-yaki, la forme la plus ancienne et la plus vénérée de la poterie au Japon.
La poterie de Bizen est apparue au XIVème siècle, mais on peut remonter au VIème siècle.
Vous trouverez sans mal énormément de magasins vendant des articles de Bizen dans tout Bizen et Okayama.
Bizen est surtout connu pour ses tons rougeâtres et terreux, mais existe une très grande gamme de couleurs et de styles. Ce qui est relativement constant, cependant, c’est que la vaisselle de Bizen est cuite non émaillée dans un four à bois, utilisant du pin rouge.
À ne pas manquer :
• Musée de la poterie
• Déguster des huitres fraiches au marché Gominoichi
• Sanctuaire Imbe-jinja
Intérêts : artisanat, culture et nature
Le Hakone-yosegi est un type de marqueterie traditionnelle japonaise apparue à la fin de la période Edo (1603-1868).
Le yosegi est communément utilisé pour décorer une grande variété de produits d’artisanat en bois.
L’une des utilisations les plus communes et réputée est celle des himitsu-bako, des boites à ouverture secrète japonaises.
Mais différents produits utilisent le yosegi : boîtes puzzle, boîtes à bijoux, sous-verres, tasses, …
À ne pas manquer :
• Balade en bateau sur le lac Ashi
• Sanctuaire Hakone-jinja
Intérêts : artisanat, culture et nature
Kasama est connu pour son sanctuaire Inari.
La ville dispose également d’un long passé dans la production de pièces en céramique.
Vous pourrez profiter d’une grande variété de galeries et de magasins.
N’hésitez pas à pousser plus loin votre chemin en vous aventurant dans les montagnes voisines.
À ne pas manquer :
• Musée d’art Nichido
• Sanctuaire Kasama Inari
• Ishikiri Sammyaku
Intérêts : artisanat
Kumano est la capitale des pinceaux. Les artisans de la ville produisent 80% des pinceaux destinés à la peinture, l’écriture et les cosmétiques dans le pays.
Ne pas confondre avec la ville de Kumano située dans la préfecture de Mie.
Il faut normalement 70 étapes pour créer une brosse.
C’est un processus manuel.
On dit qu’il faut au moins 10 ans pour pouvoir manipuler les poils d’animaux correctement et efficacement.
À ne pas manquer :
• Sanctuaire Sakakiyama
• Musée Fudenosato Kobo
Intérêts : artisanat
La ferronnerie Nambu (appelée nambu tekki en japonais) est une forme de travail du métal produite dans la ville de Morioka.
C’est un artisanat traditionnel qui a été créé au milieu de la période Edo.
Le nom de ferronnerie Nambu provient du premier lieu de production de ce type de pièce, dans le domaine Nambu, un ancien domaine féodal où se trouve actuellement Morioka.
À ne pas manquer :
• Château de Morioka
• Musée d’art d’Iwate
Intérêts : artisanat
Un des meilleurs endroits pour voir des bonsaïs est le village d’Omiya, situé au nord de Tokyo.
Vous pourrez déambuler dans de nombreuses pépinières de bonsaïs qui y ont déménagé de Tokyo après le grand tremblement de terre du Kanto de 1923.
À ne pas manquer :
• Musée du bonsai
• Sanctuaire Hikawa
• Maison du bonsai des quatre saisons
• Musée du train
Intérêts : artisanat, culture et histoire
Shiroishi est une ville historique située dans le sud de la préfecture de Miyagi.
Son château fut le théâtre d’une bataille féroce pendant la guerre de Boshin de la restauration Meiji.
En plus d’être un très bon choix pour les amateurs d’histoire, Shiroishi est également réputé pour ses poupées Yajiro Kokeshi et ses nouilles umen.
Les montagnes de Zao offrent un décor époustouflant tout au long de l’année.
À ne pas manquer :
• Château de Shiroishi
• Village des renards
• Parc Funaokajyo